le sabre dit "à garde de bataille" sera prévu pour les officiers de toutes les subdivisions de la cavalerie de Louis XVI à la Restauration. Seul les hussards, voulant gardé leurs traditions ne se laisseront pas influencer par cette mode. L’administration de l'armée n'ayant jamais réglementé cette monture, les officiers ont pu laisser libre cours à leur imaginations en terme de fantaisie.
Le modèle 1822 à lame courbe avait été très mal accueilli par la cavalerie de ligne et jugé trop inefficace pour tailler ou pointer. Sous le second empire , la commission de la cavalerie du régime impérial demanda un sabre pour la cavalerie de ligne de type "latte" , cet à dire un sabre droit. La première série sera déjà distribuée au carabiniers puis par la suite aux cuirassiers et dragons. le modèle 1854 de dragons ne diffère du carabinier que par sa lame et son fourreau plus...
Après le désordre de la révolution l’administration décide de travailler sur un nouveau système . Une commission dirigée par le général Gassendi se chargea de travailler sur le projet d'un sabre dont les priorités devaient être l'efficacité au combat , la protection de la main du cavalier et un objet facile a produire . Ce sera le modèle An IX Monture avec branches latérales , oreillons sur la pièce de garde, demi olives sur la poignée sans filigrane (inspirations des sabres de...