Découvrez l’histoire fascinante du sabre des Marins de la Garde Impériale, une arme emblématique de l’époque napoléonienne. Créé en 1804 par le fourbisseur Duc, ce sabre allie élégance et symbolisme, avec une lame courbée gravée de l’inscription "Garde Impériale" et ornée d’ancres et de palmettes. Fabriqué par la prestigieuse Manufacture de Klingenthal, il était porté comme une distinction honorifique par les marins de la Garde, bien plus qu’utilisé au combat.
Les hussards étaient réputés pour leur mobilité et leur agilité, et leurs sabres étaient un élément essentiel de leur équipement. Les hussards étaient des cavaliers rapides et agiles, souvent utilisés pour des missions de reconnaissance, de harcèlement et de raid. Les sabres de hussard du début du XVIIIe siècle représentaient à la fois une arme redoutable et un symbole de statut et de prestige pour les cavaliers.
le kilig presente une lame XVIIIème en acier wootz ( apprécié pour sa qualité ). les garnitures sont en vermeil, toutes poinçonnés en vermeil turc entre 1808-1839. les décors sont d'une grande finesse d’influence très européenne.
Le deuxième régiment de chevaux léger lanciers de la garde impériale est formé à Versailles le 19 juillet 1810. Il est composé majoritairement de Hollandais ( ancien du premier régiment de hussard hollandais et de la garde royale). Ils seront accueillis par la garde à cheval et de nombreux officiers français qui organiseront un banquet en leurs honneurs. Des incidents et des heurts lors de ce banquet leur donnerons une réputation de buveur et de bagarreur.
le sabre dit "à garde de bataille" sera prévu pour les officiers de toutes les subdivisions de la cavalerie de Louis XVI à la Restauration. Seul les hussards, voulant gardé leurs traditions ne se laisseront pas influencer par cette mode. L’administration de l'armée n'ayant jamais réglementé cette monture, les officiers ont pu laisser libre cours à leur imaginations en terme de fantaisie.
sabres des grenadiers à cheval de la garde impériale, 3° type en détails.
